Textes
2 participants
Page 1 sur 1
Textes
bon eh bien jai du temps a perdre alors, j'ai commmencé ce sujet pour tous les textes de tricot machine vous aussi participer
PS: si vous croyez qu'il y a des fautes dans les textes que les membres posterons, vous pouvez leur glisser un petit commentaire pour les corriger et svp mettre le titre de la chanson comme sujet
PS: si vous croyez qu'il y a des fautes dans les textes que les membres posterons, vous pouvez leur glisser un petit commentaire pour les corriger et svp mettre le titre de la chanson comme sujet
Dernière édition par le Mer 12 Déc - 22:30, édité 1 fois
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Introduction au Tricot Machine
alors voici le texte de la chanson :
Introduction au Tricot Machine
Savez vous tricoter ?
À vos aiguilles !
À l’endroit , à l’envers
Tricoter sur le gros nerf
À l’envers, à l’endroit
Une maille à la fois
À l’endroit, à l’envers
Une maille de travers
À l’envers, à l’endroit
Introduction au Tricot Machine
Savez vous tricoter ?
À vos aiguilles !
À l’endroit , à l’envers
Tricoter sur le gros nerf
À l’envers, à l’endroit
Une maille à la fois
À l’endroit, à l’envers
Une maille de travers
À l’envers, à l’endroit
Dernière édition par le Mar 1 Jan - 2:29, édité 1 fois
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
L'ours
voici le texte de la chanson :
L’ours
J'ai sauvé la peau d'un petit ours
Pis son cœur, je l'ai pas volé
J'ai tué le chasseur avant qu'il shoote
Et l'ours m'a consolée
Tu es doux et juste un peu farouche
Mais je sais que je t'apprivoiserai
Tu as mordu dans mon cœur à pleine bouche
Et t'y es installé
Les années se suivent et nous rassemblent
Il y a toujours plus à partager
Dans la tanière qui abrite nos confidences
Nous on a hiberné
Puis un jour c'est l'été et c'est dimanche
Et les framboises poussent par milliers
J'ai tâché de fruits rouges ma robe blanche
Et je vais t'épouser
Les yeux fermés main dans la patte on avance
Dans l'allée d'un champ de blé d'Inde shooté
Un doux mélange de romance et de démence
Quand le fermier a tiré
Ce matin je me suis faite une petite bouffe
Mais à vrai dire ça passait pas vraiment
Je m'étais même préparé un bol de soupe
Car j'espérais te voir dedans
Mais en vain, je l'ai scruté à la loupe
Aucune trace de poil, de dents, de sang
Dis t'es où à présent, mon petit ours ?
Ta fourrure traîne sur le divan
L’ours
J'ai sauvé la peau d'un petit ours
Pis son cœur, je l'ai pas volé
J'ai tué le chasseur avant qu'il shoote
Et l'ours m'a consolée
Tu es doux et juste un peu farouche
Mais je sais que je t'apprivoiserai
Tu as mordu dans mon cœur à pleine bouche
Et t'y es installé
Les années se suivent et nous rassemblent
Il y a toujours plus à partager
Dans la tanière qui abrite nos confidences
Nous on a hiberné
Puis un jour c'est l'été et c'est dimanche
Et les framboises poussent par milliers
J'ai tâché de fruits rouges ma robe blanche
Et je vais t'épouser
Les yeux fermés main dans la patte on avance
Dans l'allée d'un champ de blé d'Inde shooté
Un doux mélange de romance et de démence
Quand le fermier a tiré
Ce matin je me suis faite une petite bouffe
Mais à vrai dire ça passait pas vraiment
Je m'étais même préparé un bol de soupe
Car j'espérais te voir dedans
Mais en vain, je l'ai scruté à la loupe
Aucune trace de poil, de dents, de sang
Dis t'es où à présent, mon petit ours ?
Ta fourrure traîne sur le divan
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Pas fait en chocolat
Textes de la chanson :
Pas fait en chocolat
On a les oreilles au vent
Les mains gelées rouges
Dans nos orteils y'a plus de sang
Y faut qu'on bouge
La tempête fait pas attention
À nos petits corps
Je te dis qu'on en avait de l'ambition
De sortir dehors
Personnellement j'étais plus capable
De te voir assis à l'autre bout de la table
Devant le château de cartes que j'ai
Soufflé pour te réveiller
On va changer d'air pour vrai
Mon petit cœur t'es mieux de te tenir prêt
Je suis pas fait en chocolat
On n’est pas fait en chocolat
Y a des hivers qui sont longs
Pis d'autres qui filent
Disons que je file un mauvais coton
Laisse-moi tranquille
Personnellement j'étais plus capable
De te voir assis à l'autre bout de la table
Devant le château de cartes que j'ai
Soufflé pour te réveiller
On va changer d'air pour vrai
Mon petit cœur t'es mieux de te tenir prêt
Je suis pas fait en chocolat
On n’est pas faits en chocolat
Penses-tu qu'on va passer
À travers le temps qu'il fait cet hiver ?
Penses-tu qu'on va passer
À travers le temps qu'il fait cet hiver ?
Penses-tu qu'on va passer
À travers le temps qu'il fait cet hiver ?
Penses-tu qu'on va passer
À travers le temps qu’il fait cet hiver ?
Pas fait en chocolat
On a les oreilles au vent
Les mains gelées rouges
Dans nos orteils y'a plus de sang
Y faut qu'on bouge
La tempête fait pas attention
À nos petits corps
Je te dis qu'on en avait de l'ambition
De sortir dehors
Personnellement j'étais plus capable
De te voir assis à l'autre bout de la table
Devant le château de cartes que j'ai
Soufflé pour te réveiller
On va changer d'air pour vrai
Mon petit cœur t'es mieux de te tenir prêt
Je suis pas fait en chocolat
On n’est pas fait en chocolat
Y a des hivers qui sont longs
Pis d'autres qui filent
Disons que je file un mauvais coton
Laisse-moi tranquille
Personnellement j'étais plus capable
De te voir assis à l'autre bout de la table
Devant le château de cartes que j'ai
Soufflé pour te réveiller
On va changer d'air pour vrai
Mon petit cœur t'es mieux de te tenir prêt
Je suis pas fait en chocolat
On n’est pas faits en chocolat
Penses-tu qu'on va passer
À travers le temps qu'il fait cet hiver ?
Penses-tu qu'on va passer
À travers le temps qu'il fait cet hiver ?
Penses-tu qu'on va passer
À travers le temps qu'il fait cet hiver ?
Penses-tu qu'on va passer
À travers le temps qu’il fait cet hiver ?
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Un monstre sous mon lit
voici le texte de la chanson :
Un monstre sous mon lit
Elle glace le sang, brise les élans
Elle serre les fesses, elle claque des dents
Mouille les culottes, rend les cheveux blancs
Elle ouvre la porte dans un coup de vent
La peur nous fige et nous endort
La peur nous suit même dans la mort
On a tous un monstre dans la vie
Ben caché en dessous de notre lit
La peur des clowns qui font brailler
De voir un ours même empaillé
De perdre sa mère au centre d'achats
De perdre son père deux semaines sur trois
Un chien qui jappe au bout de sa corde
Y a tu quelqu'un dans le garde-robe?
Y a plus de bruit passé minuit
La peur est grande quand on est petit
Elle glace le sang, brise les élans
Elle serre les fesses, elle claque des dents
Mouille les culottes, rend les cheveux blancs
Elle ouvre la porte dans un coup de vent
La peur nous fige et nous endort
La peur nous suit même dans la mort
On a tous un monstre dans la vie
Ben caché en dessous de notre lit
Pis vient la phobie des bibittes
La chienne d'aimer ou de venir trop vite
De perdre la face, de perdre ses cheveux
De perdre ma place si je fais pas mieux
Et si le parachute s'ouvrait pas
Et si le téléphone sonnait pas
À chaque deux pas je me sens suivi
La peur augmente quand on grandit
Je mets mon ti-casque
Ma crème solaire
Je barre bien la porte
Je laisse de la lumière
J'prend des REER
Je fais mes prières
Peur d'avoir peur, sur-angoissé
Sur-assuré, surprotégé
À double tour dans mon loyer
Une double boucle à mes souliers
La peur de partir sans prévenir
Sans laisser de traces, sans voir venir
De perdre sa femme ou sa raison
De Passer Noël à l'abandon
Bedaine de bière ou ben cancer
Qu'est-ce qui me mènera au cimetière?
Y a tu vraiment quelque chose après?
Quand on vieillit, la peur renaît
Mais anyway y faut s'y faire
Les monstre sortent rarement
De leur tanière
Sauf pour venir comme par hasard
Faire la cuillère sur notre lit de mort
Sauf pour venir comme par hasard
Faire la cuillère sur notre lit de mort
Un monstre sous mon lit
Elle glace le sang, brise les élans
Elle serre les fesses, elle claque des dents
Mouille les culottes, rend les cheveux blancs
Elle ouvre la porte dans un coup de vent
La peur nous fige et nous endort
La peur nous suit même dans la mort
On a tous un monstre dans la vie
Ben caché en dessous de notre lit
La peur des clowns qui font brailler
De voir un ours même empaillé
De perdre sa mère au centre d'achats
De perdre son père deux semaines sur trois
Un chien qui jappe au bout de sa corde
Y a tu quelqu'un dans le garde-robe?
Y a plus de bruit passé minuit
La peur est grande quand on est petit
Elle glace le sang, brise les élans
Elle serre les fesses, elle claque des dents
Mouille les culottes, rend les cheveux blancs
Elle ouvre la porte dans un coup de vent
La peur nous fige et nous endort
La peur nous suit même dans la mort
On a tous un monstre dans la vie
Ben caché en dessous de notre lit
Pis vient la phobie des bibittes
La chienne d'aimer ou de venir trop vite
De perdre la face, de perdre ses cheveux
De perdre ma place si je fais pas mieux
Et si le parachute s'ouvrait pas
Et si le téléphone sonnait pas
À chaque deux pas je me sens suivi
La peur augmente quand on grandit
Je mets mon ti-casque
Ma crème solaire
Je barre bien la porte
Je laisse de la lumière
J'prend des REER
Je fais mes prières
Peur d'avoir peur, sur-angoissé
Sur-assuré, surprotégé
À double tour dans mon loyer
Une double boucle à mes souliers
La peur de partir sans prévenir
Sans laisser de traces, sans voir venir
De perdre sa femme ou sa raison
De Passer Noël à l'abandon
Bedaine de bière ou ben cancer
Qu'est-ce qui me mènera au cimetière?
Y a tu vraiment quelque chose après?
Quand on vieillit, la peur renaît
Mais anyway y faut s'y faire
Les monstre sortent rarement
De leur tanière
Sauf pour venir comme par hasard
Faire la cuillère sur notre lit de mort
Sauf pour venir comme par hasard
Faire la cuillère sur notre lit de mort
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Les oreillons
voici le texte de la chanson :
Les oreillons
La fois des aurores
La fois des clés dans le char
Le soir de la panne d’électricité
La fois au trou de la fée
Pis la première fois aussi
Tout le long du trip en Gaspésie
Ça doit ben faire cent fois
Que je me rends pas
À ton oreille
Cent fois que je te le dis pas
Mais je le pense pas moins pareil
Chaque fois que tu souris
Chaque fois que t’es en maudit
Chaque fois que tu me dis
Que je suis trop belle
Encore hier dans la ruelle
Dans le bus cet apès-midi
Y a deux minutes
Quand je t’ai dit bonne nuit
Ça doit ben faire cent fois
Que je me rends pas
À ton oreille
Cent fois que je te le dis pas
Mais je le pense pas moins pareil
Les oreillons
La fois des aurores
La fois des clés dans le char
Le soir de la panne d’électricité
La fois au trou de la fée
Pis la première fois aussi
Tout le long du trip en Gaspésie
Ça doit ben faire cent fois
Que je me rends pas
À ton oreille
Cent fois que je te le dis pas
Mais je le pense pas moins pareil
Chaque fois que tu souris
Chaque fois que t’es en maudit
Chaque fois que tu me dis
Que je suis trop belle
Encore hier dans la ruelle
Dans le bus cet apès-midi
Y a deux minutes
Quand je t’ai dit bonne nuit
Ça doit ben faire cent fois
Que je me rends pas
À ton oreille
Cent fois que je te le dis pas
Mais je le pense pas moins pareil
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Super ordinaire
Voici le texte de la chanson :
Super ordinaire
Je voulais être Jimmy Hendrix
Mais j'ai pas de guitare
Pi faut connaître des accords
Je voulais être Superman
Mais le suit me fait pas
Sauver le monde c'est pas pour moi
Je voulais être l'Homme de 6 millions
Mais à 15 000 par année
Je suis mieux de pas trop dépenser.
Je voulais être la révélation de l'année
Mais j'ai pas tenu bon
Dans mes résolutions
Je voulais être l'employé du mois
Mais je suis loin d'être vite-vite
Ni photogénique
Je voulais être la surprise de la soirée
Mais je me suis pointé
Le lendemain du party
Je voulais être super
Mais moi je carbure
À l’ordinaire
Je voulais être celui qu'on n’attendait pas
J'ai tout bousillé
Quand j'ai téléphoné
Je voulais être le nouveau messie
Mais y en a déjà trop
Faut prendre un numéro
Je voulais être premier ministre
Mais j'aime pas l'avarice
Pis j'ai aucune malice
Je voulais être super
Mais moi je carbure
À l’ordinaire
Je voulais pas être pompiste
Mais c'est comme ça
C'est un peu triste
Je voulais être super
Mais moi je carbure
À l’ordinaire
Je voulais être le gars des vues
J’étais pas assez drôle
On m'a refusé le rôle
Je voulais être l'homme qui a vu l'ours
Mais chez nous à Beloeil
Y a juste des écureuils
Je voulais être Monsieur X
Mais même lui j’imagine
Me trouve trop anonyme
Super ordinaire
Je voulais être Jimmy Hendrix
Mais j'ai pas de guitare
Pi faut connaître des accords
Je voulais être Superman
Mais le suit me fait pas
Sauver le monde c'est pas pour moi
Je voulais être l'Homme de 6 millions
Mais à 15 000 par année
Je suis mieux de pas trop dépenser.
Je voulais être la révélation de l'année
Mais j'ai pas tenu bon
Dans mes résolutions
Je voulais être l'employé du mois
Mais je suis loin d'être vite-vite
Ni photogénique
Je voulais être la surprise de la soirée
Mais je me suis pointé
Le lendemain du party
Je voulais être super
Mais moi je carbure
À l’ordinaire
Je voulais être celui qu'on n’attendait pas
J'ai tout bousillé
Quand j'ai téléphoné
Je voulais être le nouveau messie
Mais y en a déjà trop
Faut prendre un numéro
Je voulais être premier ministre
Mais j'aime pas l'avarice
Pis j'ai aucune malice
Je voulais être super
Mais moi je carbure
À l’ordinaire
Je voulais pas être pompiste
Mais c'est comme ça
C'est un peu triste
Je voulais être super
Mais moi je carbure
À l’ordinaire
Je voulais être le gars des vues
J’étais pas assez drôle
On m'a refusé le rôle
Je voulais être l'homme qui a vu l'ours
Mais chez nous à Beloeil
Y a juste des écureuils
Je voulais être Monsieur X
Mais même lui j’imagine
Me trouve trop anonyme
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Les peaux de lièvres
Voici le texte de la chanson :
Les peaux de lièvres
T’as les joues rouges boréales
Tes couettes noires virent au blanc
Comme l’asphalte
Il tombe des peaux de lièvres sur Montréal
On s’éclipse du party
La neige crisse sous nos pieds
Les flocons dansent doucement, dans le vent
Mais c’est pas la faute du temps si je frissonne
Et nos mains se repèrent
Et nos cœurs s’accélèrent
On se dit rien et pourtant on se comprend
Sous les premiers murmures de l’hiver
Le désir nous harcèle
On coupe par les ruelles
Ça fait tellement longtemps qu’on s’attend
La nuit s’annonce si chaude et si belle
T’as les joues rouges boréales
Tes couettes noires virent au blanc
Comme l’asphalte
Il tombe des peaux de lièvres sur Montréal
Les peaux de lièvres
T’as les joues rouges boréales
Tes couettes noires virent au blanc
Comme l’asphalte
Il tombe des peaux de lièvres sur Montréal
On s’éclipse du party
La neige crisse sous nos pieds
Les flocons dansent doucement, dans le vent
Mais c’est pas la faute du temps si je frissonne
Et nos mains se repèrent
Et nos cœurs s’accélèrent
On se dit rien et pourtant on se comprend
Sous les premiers murmures de l’hiver
Le désir nous harcèle
On coupe par les ruelles
Ça fait tellement longtemps qu’on s’attend
La nuit s’annonce si chaude et si belle
T’as les joues rouges boréales
Tes couettes noires virent au blanc
Comme l’asphalte
Il tombe des peaux de lièvres sur Montréal
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Beau temps mauvais temps
Voici les paroles de la chanson :
Beau temps mauvais temps
On pousse, on sort, on braille, on fait ses dents
On rampe, on court, on se plante sur le ciment
Tu cherches le sens de la vie, laisse tomber
Enlève tes petites roues, t’en sais assez
D’abord une couple d’années sur la dérape
On se cale deux trois cafés pis on se rattrape
Si tu cherches la bougie d’allumage
Viens mettre ton petit doigt dans l’engrenage
Jour après jour
On court après le temps
Le nez dans le vent
Jour après jour
Beau temps mauvais temps
On se voit, on rêve, on jase
On se fait la cour
On s’aime, on doute, on casse
On se traîne en cour
La bourse ou ben la vie
Je pogne les nerfs
Je vous ai dit de garder
Les mains en l’air
Nu-pieds dans mes pantoufles
J’ai perdu le rythme
Nue tête sous ma moumoute
Ça tourne trop vite
Après un bon T-bone
En purée
On me creuse un petit trou
Je suis expiré
Jour après jour
On court après le temps
Le nez dans le vent
Jour après jour
Beau temps mauvais temps
Jour après jour
On court après le temps
Le nez dans le vent
Jour après jour
Beau temps mauvais temps
Pourquoi courir si ça nous mène
Tout droit au ciel pour cent mille ans
Et comme disait Woody Allen
« L’éternité c’est long longtemps…
Pourquoi courir si ça nous mène
Tout droit au ciel pour cent mille ans
Et comme disait Woody Allen
« L’éternité c’est long longtemps…
Pourquoi courir si ça nous mène
Tout droit au ciel pour cent mille ans
Et comme disait Woody Allen
« L’éternité c’est long longtemps…
surtout vers la fin »
surtout vers la fin »
Beau temps mauvais temps
On pousse, on sort, on braille, on fait ses dents
On rampe, on court, on se plante sur le ciment
Tu cherches le sens de la vie, laisse tomber
Enlève tes petites roues, t’en sais assez
D’abord une couple d’années sur la dérape
On se cale deux trois cafés pis on se rattrape
Si tu cherches la bougie d’allumage
Viens mettre ton petit doigt dans l’engrenage
Jour après jour
On court après le temps
Le nez dans le vent
Jour après jour
Beau temps mauvais temps
On se voit, on rêve, on jase
On se fait la cour
On s’aime, on doute, on casse
On se traîne en cour
La bourse ou ben la vie
Je pogne les nerfs
Je vous ai dit de garder
Les mains en l’air
Nu-pieds dans mes pantoufles
J’ai perdu le rythme
Nue tête sous ma moumoute
Ça tourne trop vite
Après un bon T-bone
En purée
On me creuse un petit trou
Je suis expiré
Jour après jour
On court après le temps
Le nez dans le vent
Jour après jour
Beau temps mauvais temps
Jour après jour
On court après le temps
Le nez dans le vent
Jour après jour
Beau temps mauvais temps
Pourquoi courir si ça nous mène
Tout droit au ciel pour cent mille ans
Et comme disait Woody Allen
« L’éternité c’est long longtemps…
Pourquoi courir si ça nous mène
Tout droit au ciel pour cent mille ans
Et comme disait Woody Allen
« L’éternité c’est long longtemps…
Pourquoi courir si ça nous mène
Tout droit au ciel pour cent mille ans
Et comme disait Woody Allen
« L’éternité c’est long longtemps…
surtout vers la fin »
surtout vers la fin »
Dernière édition par le Mar 1 Jan - 2:39, édité 1 fois
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
La pluie
Voici le texte de la chanson :
La pluie
Dimanche après-midi
Il pleut encore
Il fait un temps à faire l’amour
Je mets de la musique
J’attends que ça passe
J’ai pas mon humeur
Des beaux jours
Je suis fatigué de paresser
Je devrais me lever
Mettre mon imper
Je veux pas sortir
J’ai pus de plaisir
On dirait que tout
Me tombe sur les nerfs
J’ai un secret
Quand je change de pièce
Eh ben c’est chez toi que j’arrive
Au creux de mon lit
Tout endormie
Des restants de rêves
Au coin des yeux
Un océan entre nous deux
Sais-tu ce que c’est
Que de débouler
Un escalier
Tout énervée
Pour débarrer
La porte d’entrée
Mais va pas croire
Que je m’ennuie
Je sais rester forte
Malgré la pluie
OK c’est vrai
C’est des menteries
Donne-moi de la force
Mens-moi aussi
Dimanche après-midi
Il pleut tu aussi à Paris ?
La pluie
Dimanche après-midi
Il pleut encore
Il fait un temps à faire l’amour
Je mets de la musique
J’attends que ça passe
J’ai pas mon humeur
Des beaux jours
Je suis fatigué de paresser
Je devrais me lever
Mettre mon imper
Je veux pas sortir
J’ai pus de plaisir
On dirait que tout
Me tombe sur les nerfs
J’ai un secret
Quand je change de pièce
Eh ben c’est chez toi que j’arrive
Au creux de mon lit
Tout endormie
Des restants de rêves
Au coin des yeux
Un océan entre nous deux
Sais-tu ce que c’est
Que de débouler
Un escalier
Tout énervée
Pour débarrer
La porte d’entrée
Mais va pas croire
Que je m’ennuie
Je sais rester forte
Malgré la pluie
OK c’est vrai
C’est des menteries
Donne-moi de la force
Mens-moi aussi
Dimanche après-midi
Il pleut tu aussi à Paris ?
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Une histoire de mitaines
Une histoire de mitaines
J’avais un trou dans le pouce
Et j’étais carreautée
Je me suis retrouvée dans la slush
La gratte venait de passer
Tu comptais sur cinq doigts
Et tu étais gaucher
Tu es tombé d’une poche
Sur le trottoir glacé
J’ai failli me noyer
Toi te faire écraser
Mais des passants dévoués
Nous ont accrochés
Moi sur un parcomètre
Expiré mais quand même
Pour toi ce fut plus dur
Sur un pic de clôture
C’est juste une petite rengaine
Plus ou moins réussie
Une histoire de mitaines
Plutôt mal assorties
Une histoire comme je les aime
Tout effilochée
Ave un happy end
Qui vient tout rattraper
Je te faisais des tatas
De bord en bord de la rue
Tu faisais ton tarla
Comme si t’avais rien vu
Une main m’a ramassée
En fin d’après-midi
Poursuivant son chemin
Elle t’a pris toi aussi
Tous mouillés en tapon
Dans un sac d’épicerie
Laine contre cuir
Tu m’as enfin souri
J’ai vu que t’étais pas con
T’as vu que j’étais droitière
On a séché ensemble
Sur le calorifère
C’est juste une petite rengaine
À moitié réussi
Une histoire de mitaines
Plutôt mal assorties
Une histoire comme je les aime
Tout effilochée
Avec un happy end
Qui vient tout rattraper
Je le sais que c’est quétaine
Mais c l’histoire qui me vient
L’hiver quand on se promène
Pis que tu me tiens par la main
J’avais un trou dans le pouce
Et j’étais carreautée
Je me suis retrouvée dans la slush
La gratte venait de passer
Tu comptais sur cinq doigts
Et tu étais gaucher
Tu es tombé d’une poche
Sur le trottoir glacé
J’ai failli me noyer
Toi te faire écraser
Mais des passants dévoués
Nous ont accrochés
Moi sur un parcomètre
Expiré mais quand même
Pour toi ce fut plus dur
Sur un pic de clôture
C’est juste une petite rengaine
Plus ou moins réussie
Une histoire de mitaines
Plutôt mal assorties
Une histoire comme je les aime
Tout effilochée
Ave un happy end
Qui vient tout rattraper
Je te faisais des tatas
De bord en bord de la rue
Tu faisais ton tarla
Comme si t’avais rien vu
Une main m’a ramassée
En fin d’après-midi
Poursuivant son chemin
Elle t’a pris toi aussi
Tous mouillés en tapon
Dans un sac d’épicerie
Laine contre cuir
Tu m’as enfin souri
J’ai vu que t’étais pas con
T’as vu que j’étais droitière
On a séché ensemble
Sur le calorifère
C’est juste une petite rengaine
À moitié réussi
Une histoire de mitaines
Plutôt mal assorties
Une histoire comme je les aime
Tout effilochée
Avec un happy end
Qui vient tout rattraper
Je le sais que c’est quétaine
Mais c l’histoire qui me vient
L’hiver quand on se promène
Pis que tu me tiens par la main
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Le trou
Le trou
On a le cœur qui vire dessour
On n’a presque pu vingt ans
On cherche des sorties de secours
Un décor neuf tout blanc tout blanc
Entre les overdoses d’amour
Le temps est long c’est pas possible
Même si on se le dit tous les jours
Je suis toujours pas devenu invincible
Le trou c’est pas un trou c’est une mine
Qui s’agrandit en grandissant
On peut pas dire que j’ai bonne mine
En dessous de la terre c’est salissant
J’ai le cœur gros comme le building
Au coin de Peel et Sainte-Catherine
Je suis monté au treizième étage
Pour te harceler d’avantage
Faut dire que j’ai la verbe facile
Quand il s’agit de sentiments
Poignard en main ou ustensile
Selon la folie du moment
C’est tellement plus simple quand ça file
Pourquoi est-ce que je dérape tout le temps ?
Si tout ça ne tient qu’à un fil
Je suis pas loin de mettre les ciseaux dedans
Le trou c’est pas un trou c’est une mine
Qui creuse, creuse en vieillissant
Je suis gâté pourri j’imagine
Mais quand je dors je serre les dents
L’amour pour vrai j’en ai soupé
Dîné, jeûné et déjeuné
J’ai passé proche de m’étouffer
Mais j’étais prêt à recommencer
Des fois je t’aime tellement trop
Que je sais même pus qu’est-ce que ça vaut
On a le cœur qui vire dessour
On n’a presque pu vingt ans
On cherche des sorties de secours
Un décor neuf tout blanc tout blanc
Entre les overdoses d’amour
Le temps est long c’est pas possible
Même si on se le dit tous les jours
Je suis toujours pas devenu invincible
Le trou c’est pas un trou c’est une mine
Qui s’agrandit en grandissant
On peut pas dire que j’ai bonne mine
En dessous de la terre c’est salissant
J’ai le cœur gros comme le building
Au coin de Peel et Sainte-Catherine
Je suis monté au treizième étage
Pour te harceler d’avantage
Faut dire que j’ai la verbe facile
Quand il s’agit de sentiments
Poignard en main ou ustensile
Selon la folie du moment
C’est tellement plus simple quand ça file
Pourquoi est-ce que je dérape tout le temps ?
Si tout ça ne tient qu’à un fil
Je suis pas loin de mettre les ciseaux dedans
Le trou c’est pas un trou c’est une mine
Qui creuse, creuse en vieillissant
Je suis gâté pourri j’imagine
Mais quand je dors je serre les dents
L’amour pour vrai j’en ai soupé
Dîné, jeûné et déjeuné
J’ai passé proche de m’étouffer
Mais j’étais prêt à recommencer
Des fois je t’aime tellement trop
Que je sais même pus qu’est-ce que ça vaut
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Ambulance
Ambulance
Jeudi quatre heure et demie
Les klaxons perdent patience
Autoroute Décarie
Y a plus personne qui avance
Les sirènes se font entendre
Par intermittence
Entre les tôles brûlantes
Se faufile une ambulance
Avec collée au cul
Une étrange excroissance
Un gars pas mal sangsue
Dans une Cadillac blanche
Conducteur profiteur
Qui se contrebalance
D’être rivé au bumper
D’un véhicule d’urgence
Tout ce qui compte pour lui
C’est de trouver sa cadence
Quitte à tirer profit
Du mal et de la souffrance
Il ne souhaite qu’une seule chose
C’est de partir en vacances
Le malheur des autres
Sera sa délivrance
Le gars dans l’heure de pointe
Qui collait l’ambulance
Se croyait le plus fin
À chacun de faire sa chance
Le gars dans l’heure de pointe
Avec son arrogance
Oubliait que le destin
Prend toujours sa revanche
Tout autour de lui
Les klaxons crient vengeance
Jugement ou jalousie
Un étrange mélange
Il fait semblant de rien
Totale indifférence
Petit sourire en coin
Monte le son à outrance
Les sirènes affolées
Créent de la dissonance
Mais c’est le prix à payer
Pour que les choses avancent
Ses oreilles qui bourdonnent
Ses tympans qui élancent
Son cellulaire qui sonne
Y en a même pas connaissance
Le gars dans l’heure de pointe
Qui collait l’ambulance
Se croyait le plus fin
À chacun de faire sa chance
Le gars dans l’heure de pointe
Avec son arrogance
Oubliait que le destin
Prend toujours sa revanche
Paraît qu’il faut se méfier
De ses propres manigances
Paraît que ça peut nous mener
Jusqu’à la démence
Qu’on le veuille ou qu’on le veuille pas
C’est pas juste des croyances
Parlez-en donc au gars
De la grosse Cadillac blanche
Le destin l’a frappé
Rendu à sa résidence
Quand il a pris ses messages
Laissés en son absence
Je suis un collègue de votre femme
Elle a eu une défaillance
Crise de cœur, 9-1-1
Elle est partie pour l’urgence
Le destin a voulu
Quelle coïncidence
Qu’il suivait sans le savoir
Sa femme dans l’ambulance
Le destin a gâché
Bien plus que ses vacances
Sa blonde en prendra pus
Toute mes condoléances
Jeudi quatre heure et demie
Les klaxons perdent patience
Autoroute Décarie
Y a plus personne qui avance
Les sirènes se font entendre
Par intermittence
Entre les tôles brûlantes
Se faufile une ambulance
Avec collée au cul
Une étrange excroissance
Un gars pas mal sangsue
Dans une Cadillac blanche
Conducteur profiteur
Qui se contrebalance
D’être rivé au bumper
D’un véhicule d’urgence
Tout ce qui compte pour lui
C’est de trouver sa cadence
Quitte à tirer profit
Du mal et de la souffrance
Il ne souhaite qu’une seule chose
C’est de partir en vacances
Le malheur des autres
Sera sa délivrance
Le gars dans l’heure de pointe
Qui collait l’ambulance
Se croyait le plus fin
À chacun de faire sa chance
Le gars dans l’heure de pointe
Avec son arrogance
Oubliait que le destin
Prend toujours sa revanche
Tout autour de lui
Les klaxons crient vengeance
Jugement ou jalousie
Un étrange mélange
Il fait semblant de rien
Totale indifférence
Petit sourire en coin
Monte le son à outrance
Les sirènes affolées
Créent de la dissonance
Mais c’est le prix à payer
Pour que les choses avancent
Ses oreilles qui bourdonnent
Ses tympans qui élancent
Son cellulaire qui sonne
Y en a même pas connaissance
Le gars dans l’heure de pointe
Qui collait l’ambulance
Se croyait le plus fin
À chacun de faire sa chance
Le gars dans l’heure de pointe
Avec son arrogance
Oubliait que le destin
Prend toujours sa revanche
Paraît qu’il faut se méfier
De ses propres manigances
Paraît que ça peut nous mener
Jusqu’à la démence
Qu’on le veuille ou qu’on le veuille pas
C’est pas juste des croyances
Parlez-en donc au gars
De la grosse Cadillac blanche
Le destin l’a frappé
Rendu à sa résidence
Quand il a pris ses messages
Laissés en son absence
Je suis un collègue de votre femme
Elle a eu une défaillance
Crise de cœur, 9-1-1
Elle est partie pour l’urgence
Le destin a voulu
Quelle coïncidence
Qu’il suivait sans le savoir
Sa femme dans l’ambulance
Le destin a gâché
Bien plus que ses vacances
Sa blonde en prendra pus
Toute mes condoléances
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Roman savon
Roman savon
Depuis le temps que ça tourne en rond
J’ai peut-être la solution
En mettant du savon
Je trouve ça déjà moins rough
Je le sais que je fais les coins rond
C’est à refaire de toute façon
On vit dans une soue à cochons
Mais c’est pas pour demain
Ni dans un avenir proche
Que mon cœur comprendra ta raison
Moi quand je clean la maison
Je mets nos histoires à OFF
Mon ménage est foutu
Autant de temps perdu
Laisse-moi balayer
Les larmes sur le plancher
Les choses se sont gâtées
Regarde où on en est
Les assiettes sont cassées
Astheure
Pour s’en faire accroire, on est bon
Notre roman savon
Notre édition de poche
On peut dire qu’on l’a écrit au son
On fait nos fanfarons
Jusqu’à ce que l’amour nous amoche
Mon ménage est détruit
Et le pavé reluit
Laisse-moi éponger
Le drame sur le plancher
Ferme donc les rideaux
Ils ont eu tout un show
La scène de ménage est finie
Tant pis
Depuis le temps que ça tourne en rond
J’ai peut-être la solution
En mettant du savon
Je trouve ça déjà moins rough
Je le sais que je fais les coins rond
C’est à refaire de toute façon
On vit dans une soue à cochons
Mais c’est pas pour demain
Ni dans un avenir proche
Que mon cœur comprendra ta raison
Moi quand je clean la maison
Je mets nos histoires à OFF
Mon ménage est foutu
Autant de temps perdu
Laisse-moi balayer
Les larmes sur le plancher
Les choses se sont gâtées
Regarde où on en est
Les assiettes sont cassées
Astheure
Pour s’en faire accroire, on est bon
Notre roman savon
Notre édition de poche
On peut dire qu’on l’a écrit au son
On fait nos fanfarons
Jusqu’à ce que l’amour nous amoche
Mon ménage est détruit
Et le pavé reluit
Laisse-moi éponger
Le drame sur le plancher
Ferme donc les rideaux
Ils ont eu tout un show
La scène de ménage est finie
Tant pis
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Re: Textes
de rien, mais ca la été vraiment long retaper tous les textes mots par mots du livret du cd vers mon ordi Je suis quand même fier de moi
vince- Messages : 102
Date d'inscription : 11/11/2007
Age : 31
Localisation : L'Ange-Gardien (proche de Gatineau)
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|